15 juillet 2023

Les troupes étrangères actuellement déployées dans l'est du Congo

 Les troupes étrangères actuellement déployées dans l'est du Congo présentent un comportement qui rappelle celui des conquérants plutôt que celui des soldats de la paix. Leur comportement est à la fois préoccupant et décourageant, car il semble qu'ils aient oublié leur mission de rétablir la stabilité et la sécurité dans la région. L'ironie dramatique réside dans le fait que ces troupes, qui ont été envoyées pour protéger le peuple congolais, semblent maintenant se considérer comme les maîtres du pays.

Dans les profondeurs de l'est du Congo, où l'espoir peine à survivre au milieu du chaos, la présence de troupes étrangères se voulait un phare. Pourtant, leurs actions trahissent un sentiment de droit, comme s'ils croyaient avoir conquis cette terre et ses habitants. C'est une ironie tragique que ceux qui étaient censés apporter la paix semblent maintenant imposer leur volonté aux âmes mêmes qu'ils étaient chargés de protéger.

L'air est lourd de tension alors que le peuple congolais regarde avec incrédulité. Ils avaient espéré le salut, une force qui les protégerait des horreurs qui tourmentaient leur vie depuis bien trop longtemps. Au lieu de cela, ils se retrouvent à vivre à l'ombre de bottes étrangères, piétinant leur dignité et leur autonomie.

Les échos de l'histoire résonnent à travers les collines et les vallées de l'est du Congo, nous rappelant les innombrables nations qui ont souffert sous le joug de la domination étrangère. Pourtant, nous avions espéré que cette fois serait différente, que la communauté internationale dépasserait les erreurs du passé. Hélas, il semble que l'histoire ait une façon cruelle de se répéter.

Dans ce théâtre du désespoir, les troupes étrangères agissent comme si elles étaient les maîtresses de cette terre, imposant leur volonté à un peuple qui aspire à la liberté. Leurs actes sont plus éloquents que leurs paroles, car ils font fi des principes de respect et de coopération qui doivent guider leur mission. Le peuple congolais, qui a enduré des épreuves inimaginables, mérite mieux que cela.

Il est temps pour la communauté internationale de réfléchir au véritable objectif de sa présence dans l'est du Congo. Ils doivent se souvenir avant tout de ce qu'ils sont venus faire au Congo

Comment peut-on s'attendre à ce que la paix prévale dans l'est du Congo alors que les responsables d'actes odieux ne sont pas tenus responsables de leurs crimes ?

Il est tout à fait inconcevable qu'une région en proie à la violence et à la souffrance puisse jamais connaître une véritable tranquillité sans garantir la justice pour les auteurs. L'absence de responsabilité pour ces actes atroces sape tout espoir d'un avenir pacifique. Les auteurs, qui ont commis des crimes indicibles contre des innocents, continuent d'errer librement, échappant aux sanctions et perpétuant un cycle de violence.

Ce mépris flagrant de la justice non seulement perpétue une culture d'impunité, mais érode également le tissu même de la société, laissant les victimes et leurs familles dans un état de peur et d'angoisse perpétuelles.

Pour parvenir à une paix durable dans l'Est du Congo, il est impératif que les responsables de ces actes odieux soient traduits en justice. La responsabilité a un effet dissuasif, envoyant un message clair que de tels crimes ne seront pas tolérés. Il procure un sentiment de fermeture aux victimes et à leurs familles, leur permettant de guérir et de reconstruire leur vie. De plus, cela rétablit la confiance dans le système de justice et favorise un sentiment de confiance au sein de la communauté.

La communauté internationale doit s'unir dans ses efforts pour garantir la responsabilité de ces crimes. Il ne suffit pas de condamner simplement la violence de loin ; des actions concrètes doivent être prises pour tenir les auteurs responsables. Cela nécessite de renforcer les systèmes judiciaires dans l'est du Congo, en fournissant les ressources et le soutien nécessaires pour enquêter et poursuivre efficacement ces crimes.

En outre, il est crucial de s'attaquer aux causes profondes du conflit dans l'est du Congo. La pauvreté, l'instabilité politique et l'exploitation des ressources naturelles ont toutes contribué au cycle de la violence. En abordant ces problèmes sous-jacents, nous pouvons créer un environnement propice à la paix et à la stabilité.

En conclusion, la voie de la paix dans l'Est du Congo est pavée de responsabilité. Nous devons exiger justice pour les victimes et veiller à ce que les responsables d'actes odieux soient tenus responsables de leurs crimes. Ce n'est qu'alors que nous pourrons espérer briser le cycle de la violence et créer un avenir où la paix prévaudra.

12 juillet 2023

Les Dirigeants Congolais: Les Pires Ennemis Du Pays

Par un tragique coup du sort, ce sont les dirigeants mêmes chargés de guider la République démocratique du Congo qui s'imposent comme ses plus redoutables adversaires. Leurs actions, ou plutôt leur absence, plongent cette nation dans un abîme sans fin de désespoir et de souffrance. Préparez-vous, car l'histoire qui se déroule est celle d'une pure tragédie et d'une trahison.

Les dirigeants congolais, qui auraient dû être les gardiens du progrès et de la prospérité, sont au contraire devenus les artisans de la misère de leur peuple. Leur incompétence et leur corruption entravent le pays, l'empêchant de réaliser son véritable potentiel. Chaque jour qui passe, les rêves et les aspirations du peuple congolais sont écrasés sous le poids du mépris impitoyable de ses dirigeants. 

C'est une histoire d'occasions manquées et de promesses non tenues. Les vastes ressources naturelles qui auraient dû être une bénédiction pour le peuple congolais sont devenues une malédiction, exploitées par ces dirigeants pour leur profit personnel. Alors que les richesses du pays sont pillées, ses citoyens sont laissés à languir dans la pauvreté, privés même des nécessités les plus élémentaires de la vie.

Mais ce n'est pas seulement leur cupidité qui a provoqué cette tragédie. C'est leur mépris total pour le bien-être de leur propre peuple. Les dirigeants congolais ferment les yeux sur les souffrances qui submergent leur pays, choisissant plutôt de se livrer à des modes de vie somptueux et de s'engager dans des luttes de pouvoir. Ils se délectent de leur opulence alors que leur peuple souffre, leurs appels à l'aide tombant dans l'oreille d'un sourd.

Les conséquences de leurs actes sont désastreuses. Le peuple congolais est piégé dans un cycle de violence et d'instabilité, sa vie déchirée par les conflits et les troubles. Les dirigeants, qui auraient dû être le phare de l'espoir, sont devenus les annonciateurs de la destruction. Ils ont laissé tomber leur peuple, trahissant la confiance même qui leur était accordée. C'est une tragédie aux proportions épiques, une histoire dont on se souviendra pour les générations à venir. 


11 juillet 2023

Quatre Stratégies Pour Repousser L'agression du M23 à Ses Origines.

 Quatre stratégies peuvent permettre aux Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) d'affronter efficacement et de vaincre de manière décisive la menace menaçante du M23, garantissant ainsi la plus grande stabilité et une sécurité inébranlable à la population congolaise de l'Est. Afin d'atteindre cet objectif primordial, il est important d'adopter une approche résolue et audacieuse. En mettant en œuvre les stratégies suivantes, les FARDC peuvent fortifier leurs positions et sortir victorieuses rapidement.


1. Renforcement des capacités militaires : Les FARDC doivent accorder la priorité au renforcement de leurs capacités militaires par une formation rigoureuse, la modernisation des équipements et la mise en place de structures de commandement et de contrôle robustes. En renforçant leurs forces, elles seront mieux équipées pour contrer de front la menace M23.

2. Collecte et analyse du renseignement : Un réseau de renseignement complet est indispensable dans la lutte contre le M23. Les FARDC devraient investir dans une technologie de surveillance avancée, former des informateurs et établir des partenariats avec des agences de renseignement régionales et internationales. En rassemblant et en analysant des informations précises et opportunes, elles peuvent efficacement anticiper et neutraliser toute menace potentielle.

3. Opérations coordonnées : Les FARDC doivent adopter une approche unifiée et coordonnée dans leurs opérations contre le M23. Cela implique une collaboration transparente entre les différentes branches de l'armée, ainsi qu'une communication et un partage d'informations efficaces. En travaillant ensemble comme une force cohésive, elles peuvent exploiter les faiblesses du M23 et démanteler rapidement leurs opérations.

4. Engager la population locale : Gagner les cœurs et les esprits du peuple congolais est crucial dans cette bataille. Les FARDC devraient s'engager activement auprès des communautés locales, en leur offrant sécurité, assistance humanitaire et opportunités de développement. En favorisant la confiance et la coopération, les FARDC peuvent obtenir un soutien précieux de la population, ce qui rend plus difficile pour le M23 de recruter et d'opérer en leur sein.

En conclusion, en mettant en œuvre ces quatre stratégies avec une détermination sans faille, les FARDC peuvent affronter et vaincre de manière décisive la menace du M23, assurant la stabilité et la sécurité que les Congolais de l'Est







05 juillet 2023

Pour les Dirigeants, les excuses ne sont que les symptômes d'un manque de responsabilité.

Le président Tshisekedi a d'abord cité sa coalition avec Kabila comme la principale raison de son incapacité à tenir ses promesses. Bien qu'il ait finalement rompu les liens avec la coalition, il a continué à rencontrer des difficultés pour tenir ses engagements. On assiste aux tentatives désespérées du Président pour justifier ses manquements. Blâmer la coalition semblait être une échappatoire pratique à la responsabilité, une faible tentative de rejeter la faute sur les autres. Cependant, même après s'être libéré de cette alliance, le président s'est retrouvé empêtré dans un réseau d'obstacles, entravant sa progression et laissant ses promesses non tenues.

Le décor était planté pour une grande performance, les paroles du président résonnant d'espoir et d'ambition. Pourtant, alors que les rideaux se levaient, le public a été déçu, témoin d'un leader qui n'a pas assumé le poids de ses responsabilités. Les excuses coulent comme un air tragique, résonnent dans les couloirs du pouvoir, mais elles ne peuvent masquer la vérité: un manque de responsabilité.

Dans le domaine du leadership, les excuses ne sont qu'un écran de fumée, obscurcissant la véritable essence de la responsabilité. L'incapacité du président à tenir ses promesses révéle un défaut plus profond, un défaut qui terni sa crédibilité et laisse la nation aspirer à un leader qui s'élèverait au-dessus de l'ombre des excuses.

C'est dans ces moments de prise de conscience que les vrais leaders émergent, ceux qui assument la responsabilité et affrontent l'adversité de front. Le voyage du président, entaché d'excuses et de promesses non tenues, sert de récit édifiant à ceux qui osent rêver de leadership. Le chemin vers la grandeur exige plus que de simples mots ; cela exige une détermination inébranlable, de la résilience et un engagement inébranlable envers la responsabilité.

Dans les annales de l'histoire, on se souvient des dirigeants non pas pour leurs excuses, mais pour leurs actions. L'héritage du président Tshisekedi, autrefois plein de potentiel, est maintenant un rappel brutal des dangers d'échapper à la responsabilité.


04 juillet 2023

Il faut que le Congo s'abstienne d'organiser une élection nationale jusqu'à ce qu'il ait repris le contrôle total de tous ses territoires.

Le Congo ne devrait pas organiser d'élections nationales alors que certaines parties de son pays sont encore occupées par des agresseurs étrangers, à savoir le M23. Comment procéder à une élection nationale alors que certaines régions restent hors du contrôle du gouvernement ? Ce serait considéré comme une approbation de la division du pays.

Il faut que le Congo s'abstienne d'organiser une élection nationale jusqu'à ce qu'il ait repris le contrôle total de tous ses territoires. La présence du M23, une force extérieure occupant certaines parties du pays, constitue un obstacle important au processus équitable et démocratique d'élection des dirigeants nationaux.

Procéder à une élection dans de telles circonstances porterait non seulement atteinte à l'intégrité du processus électoral, mais enverrait également un message désolant au peuple congolais. Cela impliquerait que le gouvernement est prêt à accepter la division du pays, permettant aux agresseurs étrangers de dicter le sort de ses citoyens.

Au lieu de cela, le Congo doit donner la priorité à la restauration de sa souveraineté et à la protection de ses citoyens. En se concentrant sur la reprise du contrôle des régions occupées, le gouvernement peut garantir une nation unifiée et stable, jetant les bases d'une élection nationale véritablement représentative et inclusive.

Il est crucial pour le Congo de démontrer son attachement aux principes de la démocratie et de l'unité nationale. La tenue d'élections nationales dans les circonstances actuelles ne ferait que perpétuer la division et l'instabilité que le M23 cherche à imposer. En reportant l'élection jusqu'à ce que le pays soit entièrement sous contrôle gouvernemental, le Congo peut affirmer sa détermination à sauvegarder sa souveraineté et à protéger les droits de son peuple.

Pourquoi les forces de l'EAC ont-elles rapidement modifié leur mandat à leur arrivée au Congo?

Initialement invitées pour aider l'armée congolaise à repousser le M23, la mission des forces de l'EAC  s'est rapidement déplacée vers la facilitation du dialogue entre le M23 et le gouvernement Congolais. De façon étonnante, ce changement de mandat a été exécuté sans consulter le gouvernement congolais, qui leur avait adressé une invitation.

D'une manière étrange, les forces de l'EAC ont pris sur elles meme de modifier leur objectif au Congo sans même une consultation de courtoisie avec le gouvernement congolais, qui les avait gracieusement invités. Cette manœuvre des forces de l'EAC a non seulement pris le gouvernement congolais au dépourvu, mais a également soulevé des sourcils au sein de la communauté internationale. Avec un mépris effronté du protocole, les forces de l'EAC ont unilatéralement décidé de redéfinir leur rôle au Congo, laissant le gouvernement congolais dans un état de perplexité.

La modification rapide de leur mandat  montre une étonnante démonstration d'affirmation de soi. Au lieu de s'en tenir à leur objectif initial de soutenir l'armée congolaise contre le M23, ils ont hardiment pris sur eux de servir de médiateurs entre les rebelles et le gouvernement. Cette démarche exécutée sans aucune concertation avec le gouvernement congolais rend les Congolais peu convaincus de leurs bonnes intentions

La RDC devrait envisager de se retirer de la Communauté de l'Afrique de l'Est si l'EAC continue de faire pression sur le Congo pour qu'il entame des négociations avec le M23.

La République démocratique du Congo devrait sérieusement envisager l'option de se retirer de la Communauté de l'Afrique de l'Est si l'EAC persiste à faire pression sur le Congo pour qu'il négocie avec le M23, un groupe responsable d'atrocités odieuses et de crimes de guerre dans l'est du Congo. Cette position est nécessaire pour protéger la souveraineté et le bien-être du peuple congolais.


La RDC, en tant que nation souveraine, ne peut tolérer l'insistance de l'EAC à s'engager avec le M23, un groupe qui a causé et continue de causer d'immenses souffrances et dévastation dans l'est du Congo. En continuant à faire pression sur le Congo pour qu'il négocie, l'EAC tolère indirectement les actions du M23 et sape les efforts de la RDC pour établir la paix et la stabilité dans l'est du Congo.

Il faut que la RDC affirme son autorité et envoie un message clair à l'EAC qu'une telle ingérence ne sera pas tolérée. En menaçant de se retirer de l'EAC, la RDC peut démontrer son engagement à protéger ses citoyens et à tenir responsables les responsables des atrocités commises par le M23.

En outre, le retrait de la RDC de l'EAC servirait de signal d'alarme à la communauté internationale, soulignant la gravité de la situation dans l'est du Congo. Cela exigerait l'attention et l'action des dirigeants mondiaux, les exhortant à soutenir la RDC dans sa lutte contre le M23 et d'autres groupes armés qui menacent la stabilité de la région.

En adoptant cette position, la RDC sauvegarderait non seulement sa souveraineté, mais enverrait également un message puissant au M23 et aux autres auteurs de violence. Cela montrerait que le peuple congolais ne sera pas intimidé ou contraint à des négociations avec ceux qui ont causé d'immenses souffrances.

La décision de la RDC de se retirer de l'EAC ne doit pas être prise à la légère, mais c'est une étape nécessaire pour protéger les intérêts du peuple congolais. Il est temps pour la communauté internationale d'être solidaire avec la RDC et de soutenir ses efforts pour apporter la paix, la justice et la stabilité au Congo

Pour Le M23, Le Chemin De La Justice Ne Se Limite Pas A La Cour Pénale Internationale.

Les membres du M23 qui ne sont pas déférés devant la Cour pénale internationale (CPI) peuvent toujours être tenus responsables par la mise en œuvre de mécanismes de justice transitionnelle.
De manière audacieuse et résolue, il est impératif de reconnaître que les individus affiliés au M23, qui n'ont pas été déférés devant la Cour pénale internationale (CPI), peuvent et doivent être tenus responsables grâce à la mise en œuvre effective des mécanismes de justice transitionnelle.

Il est de la plus haute importance de reconnaître que la responsabilité de leurs actes ne peut être éludée. Même si ces personnes n'ont pas été traduites devant la CPI, la mise en place de mécanismes de justice transitionnelle offre un puissant moyen de faire en sorte que la justice prévale.

En adoptant les principes de la justice transitionnelle, nous pouvons établir un cadre qui tient ces membres responsables de leurs actes. Ce cadre englobe une série de mesures, y compris, mais sans s'y limiter, les commissions vérité, les réparations et les réformes institutionnelles. Grâce à ces mécanismes, nous pouvons répondre aux doléances des victimes, promouvoir la réconciliation et favoriser une société qui défend les valeurs de justice et de responsabilité.

Que l'on sache que l'ère de l'impunité est révolue. La mise en place de mécanismes de justice transitionnelle sert d'affirmation résolue que personne n'est au-dessus de la loi. Indépendamment de leur affiliation au M23, ceux qui ont commis des crimes doivent faire face aux conséquences de leurs actes.

En conclusion, le chemin vers la justice ne se limite pas à la Cour pénale internationale. Grâce à l'engagement indéfectible envers les mécanismes de justice transitionnelle, nous pouvons garantir que les responsables d'atrocités soient tenus responsables. Soyons unis dans notre quête de justice, alors que nous nous efforçons de bâtir une société qui valorise les principes de responsabilité, d'équité et les droits de tous les individus.

Avant toute chose, la priorité de Kinshasa devrait être la libération rapide des territoires actuellement détenus par le M23.

La vie sous l'occupation du M23 rwandais dépasse l'entendement. Les gens sont soumis à des horreurs indescriptibles, contraints à une vie d'esclavage, endurant des enlèvements incessants, des viols collectifs de routine, des tortures et des humiliations inimaginables. C'est une existence qui défie tout sens de l'humanité.

Face à des circonstances aussi odieuses, il est impératif que le gouvernement congolais prenne des mesures immédiates et décisives. Par-dessus tout, leur priorité devrait être la libération rapide des territoires actuellement détenus par le M23. Chaque instant qui passe sans intervention est un autre moment de souffrance pour les opprimés.

Les cris des opprimés résonnent dans les vallées, leurs appels à la liberté et à la justice résonnent dans le cœur de ceux qui osent écouter. Le poids de la responsabilité repose lourdement sur les épaules du gouvernement congolais, car il détient la clé pour débloquer les chaînes qui lient son peuple.

Ce n'est pas le moment d'hésiter ou d'efforts en demi-teinte. L'urgence de la situation exige un engagement résolu et indéfectible envers la cause de la libération. Le gouvernement congolais doit être à la hauteur de l'occasion, invoquant chaque once de courage et de détermination pour affronter les oppresseurs de front.

La bataille pour la liberté n'est pas pour les âmes sensibles. Cela exige une détermination inébranlable, une volonté de sacrifice et une croyance inébranlable dans la valeur inhérente de chaque vie humaine. Le gouvernement congolais doit rassembler ses forces, tant physiques que morales, pour mener une guerre contre les forces des ténèbres qui ont englouti leur terre.

La libération des territoires occupés n'est pas seulement une question d'intégrité territoriale ; c'est un combat pour l'âme même d'une nation. C'est une bataille pour restaurer la dignité, retrouver l'espoir perdu et faire en sorte que plus jamais le peuple congolais ne soit soumis à des atrocités aussi innommables.

Les Promesses Non Tenues Du Président Tshisekedi Deviennent Des Obstacles Majeurs à Sa Campagne De Réélection.

Lorsque le président Tshisekedi a pris ses fonctions, il a donné de nombreuses promesses qui posent désormais un défi important à sa campagne de réélection. Ces engagements comprenaient la pacification de l'Est du Congo et l'amélioration des conditions de vie de la population congolaise. Malheureusement, il est évident qu'il n'a tenu aucune de ces promesses depuis son arrivée au pouvoir.


L'incapacité du président Tshisekedi à tenir ses engagements suscite des inquiétudes parmi l'électorat. L'incapacité à pacifier la région instable de l'est du Congo entraîne des troubles et une instabilité continus, sapant la crédibilité du gouvernement. De plus, l'absence de progrès dans l'amélioration des conditions de vie des Congolais les laisse désabusés et frustrés.

Les répercussions de ces promesses non tenues deviennent désormais un handicap pour la candidature du président Tshisekedi à sa réélection. L'électorat, qui s'attend à juste titre à un changement positif, remet désormais en question sa capacité à diriger et à tenir ses engagements. Cet échec à répondre aux attentes a érode la confiance du public dans son administration.

Pour regagner la confiance du peuple congolais, le président Tshisekedi doit répondre de toute urgence à ces promesses non tenues. Il est impératif qu'il prenne des mesures concrètes pour pacifier l'Est du Congo, apporter la stabilité et la sécurité dans la région. Parallèlement, il doit prioriser les initiatives visant à améliorer les conditions de vie de la population congolaise, assurer l'accès aux produits de première nécessité et améliorer leur qualité de vie.

En conclusion, les promesses non tenues du président Tshisekedi sont devenues un obstacle important à sa campagne de réélection. L'incapacité à pacifier l'Est du Congo et à améliorer les conditions de vie du peuple congolais entraîne une perte de confiance en son leadership. Pour remédier à cette situation, il doit prendre des mesures immédiates et décisives pour remplir ces engagements et démontrer son attachement au bien-être de la nation. Ce n'est qu'alors qu'il pourra espérer regagner le soutien de l'électorat et garantir une candidature réussie à sa réélection.

Les Congolais résidant dans les territoires occupés de l'Est aspirent à un leader qui s'élèvera au-dessus du chaos

 Leurs cœurs aspirent au jour où ils seront libérés des griffes de M23 et réclameront leur liberté. Le poids de leur existence est accablé par l'occupation, alors qu'ils endurent les épreuves et les tribulations d'une vie vécue à l'ombre de l'assujettissement.Au plus profond de leur âme, ils nourrissent l'espoir que leur gouvernement se montrera à la hauteur et les délivrera de cette situation difficile. Leurs yeux, las d'être témoins des atrocités commises contre exuc, cherchent à l'horizon une lueur de salut. 

Les Congolais des territoires occupés de l'Est sont unis dans leur conviction inébranlable que la justice prévaudra et que leurs voix seront entendues. Pourtant, alors qu'ils attendent, leur patience s'épuise et leur esprit vacille. Le passage du temps devient un rappel angoissant de leur souffrance prolongée.Ils aspirent à un leader qui s'élèvera au-dessus du chaos et de l'agitation, un phare de force et de résilience. Ils aspirent à un gouvernement qui non seulement reconnaîtra leur sort, mais prendra des mesures décisives pour restaurer leur dignité et assurer leur avenir. Les Congolais des territoires occupés de l'Est ne sont pas de simples victimes; ce sont des guerriers, menant une bataille invisible contre les forces qui cherchent à réprimer leur esprit. Leur résilience est impressionnante, leur détermination inébranlable. Ils refusent d'être définis par leur situation, car ils savent que leur véritable essence réside dans leur espoir inébranlable d'un avenir meilleur.

Sous les yeux du monde, les Congolais des territoires occupés de l'Est se tiennent debout, leur cœur battant d'un esprit indomptable. Ils témoignent de la force de l'esprit humain, un rappel que même dans les moments les plus sombres, l'espoir peut prévaloir. Ils attendent le jour où leur gouvernement se montrera à la hauteur, où les chaînes de l'aggression seront brisées.

L'Est de la RDC a osé rêver de paix à l'arrivée au pouvoir du président Tshisekedi

Qu'est-il advenu ce plan ambitieux du président Tshisekedi de déplacer le quartier général militaire vers l'est, comme une étape cruciale vers la paix et la stabilité dans cette partie vulnérable du pays?


Une question persiste, lourde d'anticipation et d'inquiétude. Le président Tshisekedi, une lueur d'espoir pour une nation aspirant à la tranquillité, a un jour dévoilé un plan visionnaire pour déplacer le quartier général militaire vers l'est. Cette décision audacieuse a été saluée comme une étape cruciale vers le rétablissement de la paix et de la stabilité dans une région en proie à des troubles.


Pourtant, alors que la poussière retombe et que le temps passe, on ne peut s'empêcher de se demander : où résident désormais ces plans ambitieux ? Ont-ils été avalés par les sables impitoyables de la bureaucratie, ou ont-ils été mis de côté, oubliés au milieu du chaos des priorités concurrentes ?


L'Est, une terre au bord du précipice du désespoir, aspire au salut. Son peuple, lassé des vagues incessantes de violence et d'incertitude, avait osé rêver d'un avenir où la sécurité ne serait plus un mirage insaisissable. La proposition du président Tshisekedi avait déclenché une lueur d'espoir, un phare de possibilité qui promettait d'éclairer les recoins les plus sombres de leur existence.


Mais hélas, les ombres du doute pèsent lourd. La vision autrefois vibrante apparaît maintenant entourée d'ambiguïté, laissant les gens s'interroger sur le sort de leurs aspirations. Le poids des réalités politiques a-t-il écrasé les rêves

03 juillet 2023

Pourquoi des élections libres et équitables seront-elles difficiles dans les territoires occupés du M23 ?

Imaginez que vous vivez dans des territoires contrôlés par le M23. Ils sont entrés et vous ont tout pris, et maintenant ils sont aux commandes. Dans cette situation, avoir des élections libres et justes sera vraiment difficile.

Lorsque les agresseurs du M23 occupent des territoires, ils prennent tout le pouvoir. Ils établissent les règles et contrôlent tout. Cela signifie que les habitants de ces territoires n'ont pas la liberté de prendre leurs propres décisions, surtout en ce qui concerne les élections. Les agresseurs manipuleront le processus pour assurer le résultat qu'ils veulent, ce qui n'est pas du tout juste.

Une autre raison pour laquelle des élections libres et équitables seront difficiles dans les territoires occupés par le M23 est que les personnes vivant dans ces territoires ont des ressources limitées. Les agresseurs étrangers ne fourniront pas de soutien. Cela signifie que le peuple n'aura pas accès aux outils et aux ressources nécessaires pour voter librement et sans aucune ingérence.

Vivre dans des territoires sous le contrôle des agresseurs du M23 est vraiment effrayant. Les gens ont peur de s'exprimer et de voter contre les agresseurs parce qu'ils craignent les conséquences. Les agresseurs utiliseront des tactiques d'intimidation pour réprimer la voix du peuple et s'assurer qu'il reste au pouvoir. Cette peur et cette intimidation empêcheront la tenue d'élections libres et équitables.

En conclusion, des élections libres et équitables dans les territoires occupés par le M23 seront vraiment difficiles. Le manque d'indépendance, les ressources limitées, la peur et l'intimidation joueront tous un rôle dans la difficulté pour les personnes qui y vivent d'avoir leur mot à dire dans leur propre gouvernance. Il est important de comprendre ces enjeux et de travailler à la création d'un système juste et équitable pour tous.

Pourquoi certaines personnes pensent que les élections n'auraient pas dû avoir lieu

Certaines personnes pensent que les élections nationales en RDC n'auraient pas dû avoir lieu alors que les agresseurs étrangers continuent de causer des problèmes. Ils pensent qu'il n'est pas juste d'organiser des élections alors qu'une partie du pays n'est pas sous le contrôle du gouvernement de la RDC.

Les gens qui ont cette opinion ont une bonne raison. Ils croient que pour que les élections soient justes et démocratiques, tout le monde dans le pays devrait avoir la chance de voter et de faire entendre sa voix. Mais avec des agresseurs étrangers occupant certaines parties de la RDC, les personnes qui y vivent pourraient ne pas être en mesure de participer aux élections.

Un autre point important est que la tenue d'élections dans un pays en conflit et en instabilité peut être dangereuse. Il est crucial de s'assurer que les gens peuvent voter librement et sans crainte. S'il y a des agresseurs étrangers qui causent des problèmes, il n'est peut-être pas sûr que les gens sortent et votent. Alors, certains soutiennent qu'il vaut mieux attendre que la situation soit plus stable et que tout le monde puisse participer en toute sécurité.

En bref, c'est logique que certaines personnes pensent que des élections nationales en RDC n'auraient pas dû avoir lieu alors que des agresseurs étrangers occupent encore une partie de notre pays. Ils pensent qu'il est important d'assurer l'équité et la sécurité de tous avant la tenue d'élections. C'est une situation complexe, mais il est essentiel de penser au bien-être et aux droits de tous les habitants du pays lors de l'organisation d'élections nationales.

Pourquoi les élections nationales en RDC n'auraient pas encore dû être confirmées

Les élections nationales n'auraient pas dû être confirmées tant qu'une partie de notre pays reste sous l'occupation d'agresseurs étrangers. La priorité absolue du gouvernement congolais aurait dû être de repousser ces agresseurs de notre territoire. Ne pas le faire, par inadvertance, contribue à la division de notre pays, faisant le jeu de ceux qui cherchent à saper notre unité.

Il est impératif de reconnaître que la confirmation d'élections nationales dans de telles circonstances envoie le message que notre gouvernement est prêt à ignorer la menace immédiate à notre souveraineté. En permettant aux agresseurs étrangers de maintenir un pied à l'intérieur de nos frontières, nous risquons de déstabiliser davantage et d'éroder notre identité nationale.

Le gouvernement congolais doit faire preuve d'une détermination sans faille dans la protection de notre intégrité territoriale. Cela nécessite une position résolue contre toute occupation étrangère, en veillant à ce que notre pays reste entier et indivisible. Ce n'est qu'en luttant efficacement contre ces agresseurs que nous pourrons sauvegarder notre démocratie et ouvrir la voie à un processus électoral équitable et légitime.

Ne sous-estimons pas les conséquences de l'inaction. Permettre aux occupants étrangers de persister à l'intérieur de nos frontières compromet non seulement notre sécurité, mais sape également la confiance de nos citoyens. Il est de notre devoir de défendre notre pays, de rester unis contre ceux qui cherchent à exploiter nos vulnérabilités.

Face à l'adversité, nous devons nous élever au-dessus des considérations politiques et donner la priorité au bien-être de notre peuple. En repoussant résolument les agresseurs étrangers, nous envoyons un puissant message de résilience et de détermination. Nous refusons que notre pays soit divisé et nous ne tolérerons aucune tentative de porter atteinte à notre souveraineté.

Il est maintenant temps pour notre gouvernement de prendre des mesures audacieuses et décisives. Nous devons mobiliser nos ressources, renforcer nos défenses et rallier nos citoyens dans un front uni contre ceux qui menacent notre pays. Ce n'est qu'alors que nous pourrons nous assurer que nos élections nationales reflètent véritablement la volonté du peuple congolais, à l'abri de l'influence de l'ingérence étrangère.

Plus le temps passe sans que Kinshasa affronte le M23, plus il sera difficile d'unifier le pays

Plus Kinshasa tardera à affronter le M23, plus il deviendra ardu de réaliser l'unité nationale. Le temps s'écoule et, à chaque instant qui passe, la tâche à accomplir devient de plus en plus ardue. Le sort de notre pays est en jeu, et pourtant, Kinshasa hésite, permettant au M23 de gagner en force et en influence. L'urgence de la situation ne saurait être surestimée; plus nous attendrons, plus les divisions au sein de notre nation deviendront profondes. 

Il est impératif que Kinshasa agisse rapidement et de façon décisive, car l'avenir de notre pays en dépend.

Pourquoi le nom "Coltan" devrait être remplacé par "Congotan"

Étant donné qu'environ 80 % de l'approvisionnement mondial en coltan se trouve en République démocratique du Congo, il est tout à fait normal que le gouvernement congolais exige que les minerais de tantale qui s'y trouvent soient renommés "Congotan", de la même manière que la tanzanite est nommée d'après la Tanzanie, son pays d'origine.  

C'est important de répondre à la nécessité d'un changement de nomenclature. Le terme "coltan" a longtemps été associé aux ressources minérales trouvées en République démocratique du Congo (RDC), mais il ne parvient pas à saisir l'essence et l'importance de cette ressource vitale. Par conséquent, il est temps d'introduire un nom plus approprié.

Le nom actuel, "Coltan", n'a pas la profondeur et la résonance nécessaires pour vraiment honorer les origines et l'importance de ce minéral. En adoptant le nom « Congotan », on rend hommage à la nation qui détient la majorité des réserves mondiales de coltan, la RDC. Ce changement reconnaît non seulement la contribution significative du pays à l'approvisionnement mondial, mais souligne également la nécessité de pratiques responsables et durables dans son extraction et son commerce.

De plus, le nom "Congotan" résume le riche patrimoine culturel et historique du peuple congolais. Il sert à rappeler leur résilience et les défis auxquels ils sont confrontés pour exploiter le potentiel de cette précieuse ressource. En adoptant ce nouveau nom, on démontre l'engagement à reconnaître et à respecter la place légitime de la RDC dans l'industrie mondiale du coltan.

En remplaçant « Coltan » par « Congotan », non seulement on rectifie un oubli linguistique, mais on favorise également un sentiment d'unité et d'autonomisation au sein du peuple congolais. Ce changement contribuera sans aucun doute à une représentation plus inclusive et équitable de la richesse minérale de la RDC sur la scène mondiale.

Adoptons cette transformation audacieuse et nécessaire, en reconnaissant l'importance du langage et sa capacité à façonner les perceptions. En adoptant le nom «Congotan», on honore la contribution inestimable de la RDC à l'industrie du coltan et on ouvre la voie à un avenir plus juste et équitable. Il est grand temps de reconnaître l'importante contribution de la République Démocratique du Congo à l'industrie du tantale en lui attribuant le nom légitime de Congotan.


02 juillet 2023

Les dirigeants congolais ont la réputation de placer mal les priorités.

C'est indéniable que les cartes d'identité se font attendre depuis longtemps dans notre pays. Cependant, il est décourageant d'assister au changement soudain de priorité vers l'impression des cartes d'identité nationales, comme si c'était la plus grande préoccupation, tout en négligeant l'urgente question de repousser l'agression du M23. Cela aurait dû être la priorité absolue pour tous.

Dans un pays qui tient à sa propre dignité, même la confirmation des élections n'aurait pas dû avoir lieu sans avoir d'abord assuré la défense de notre territoire national contre l'agression. Pourtant, nous sommes ici témoins d'un manque d'urgence et d'un mépris pour la stabilité et la sécurité de notre peuple à l'ESt. illeursm, les élections ne sont généralement pas organisées lorsque leurs territoires sont sous occupation étrangère. 

Il est temps que nos dirigeants se réveillent et prennent conscience de la gravité de la situation. La menace de l'agression du M23 plane sur nous, assombrissant nos espoirs et nos aspirations. Nous ne pouvons pas nous permettre d'être absorbés par des processus bureaucratiques et des tâches administratives alors que la souveraineté de notre nation est en jeu.

Le temps d'agir est maintenant. Nous devons exiger des comptes de nos dirigeants et insister pour qu'ils accordent la priorité à la sécurité et au bien-être de nos citoyens à l"Est avant tout. L'impression de cartes d'identité est importante, mais elle n'est rien en comparaison du besoin urgent de protéger notre peuple des griffes de l'agression.

Élevons la voix et précisons que nous ne resterons pas les bras croisés alors que nos dirigeants placent mal leurs priorités. Le drame de cette situation requiert notre attention et appelle à un front uni contre ceux qui menacent notre nation.


Les Partis Politiques Alimentent La Corruption En RDC

En RDC les partis politiques sont largement considérés comme l'incarnation de la corruption, et cette perception n'est pas sans fondement. De nombreux facteurs contribuent à ce sentiment dominant.

Le pays est en proie à une culture de corruption profondément enracinée au sein de ses partis politiques. Ce problème omniprésent terni la réputation de ces organisations, laissant les citoyens désabusés et sceptiques quant à leurs intentions.L'un des principaux facteurs qui alimentent cette perception est le détournement généralisé des fonds par les responsables du parti. 

Au lieu d'utiliser ces ressources pour le bien de la nation et de son peuple, des politiciens sans scrupules se remplissent les poches, exacerbant la pauvreté et entravant le développement. Cette mauvaise utilisation flagrante des fonds publics non seulement érode la confiance dans le système politique, mais perpétue également un cycle de pauvreté et d'inégalité.

En outre, le manque de transparence et de responsabilité au sein des partis politiques renforce encore la méfiance du public. Les chefs de parti agissent souvent en toute impunité, échappant à tout contrôle et évitent les conséquences de leurs actions. Cette culture d'impunité favorise un environnement où la corruption prospère, car les individus ont le sentiment qu'ils peuvent agir sans crainte de représailles.

D' autre part, l'influence de groupes d'intérêts puissants et d'entités étrangères ne peut être ignorée. Ces acteurs externes manipulent souvent les partis politiques pour servir leurs propres agendas, sapant le processus démocratique et exacerbent la corruption. Cette ingérence non seulement compromet la souveraineté du pays, mais perpétue également un système où le gain personnel prime sur le bien-être du peuple congolais.

Pour faire face à cette situation désastreuse, des réformes urgentes sont nécessaires pour restaurer la confiance dans le système politique. Le renforcement des mesures de lutte contre la corruption, la promotion de la transparence et la responsabilisation des individus corrompus sont des étapes cruciales pour rétablir la confiance.

Félix Tshisekedi au Gabon pour participer au sommet de la CEEAC sur l’insécurité dans certaines régions de la RDC

Félix Tshisekedi au Gabon pour participer au sommet de la CEEAC sur l’insécurité dans certaines régions de la RDC: Le Président Félix-Antoine Tshisekedi participe depuis ce samedi 1er juillet à la XXIIIe session de la conférence des Chefs d'Etat et de gouvernement de la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (CEEAC). Même si le thème du sommet de Libreville est consacré à la problématique du financement de cette institution sous-régionale, la guerre du Soudan et l'agression

Si les voyages constants à l'étranger du président étaient la solution aux défis auxquels le Congo est confronté, le pays aurait déjà subi une transformation remarquable.

Réflexion sur 30 ans Presque d'agressions Rwandaises de la RDC

Ça fait presque 30 ans que le président Kagame du Rwanda poursuit sans relâche une campagne d'agression contre la RDC, sans aucune provocation. Tout a commencé en 1996, lorsqu'il a astucieusement employé un groupe rebelle connu sous le nom d'AFDL pour renverser le régime du défunt dictateur Mobutu. Mais sa soif de vouloir contrôler le Congo ne s'est pas arrêtée là. 


Dans une tournure choquante des événements, Kagame a rapidement créé un nouveau groupe rebelle qui s'est nommé RCD. Il a utilisé ce nouveau groupe pour poursuivre son programme agressif pendant le règne de courte durée de Laurent Désiré Kabila. Tragiquement, Kabila a été impitoyablement assassiné dans son propre bureau alors qu'il luttait courageusement contre l'agression rwandaise. Pourtant, cela n'a pas dissuadé Kagame de planifier un nouvel assaut contre la République démocratique du Congo.

Avec un cœur dépourvu de compassion, Kagame a continué à créer de nouveaux groupes rebelles pour poursuivre son agression incessante contre la RDC. Cela a conduit à la création des groupes rebelles CNDP et M23 que Kagame a utilisé pour agresser le Congo pendant les 18 années du règne de Joseph Kabila. Et comme si cela ne suffisait pas, Kagame continue de déchaîner son agression contre la RDC au moment même où nous parlons, cette fois en utilisant le M23 sous le régime actuel du président Tshisekedi.

Les conséquences de ces agressions non provoquées sont catastrophiques pour le peuple congolais. D'innombrables vies innocentes congolaises ont été perdues. Des millions de personnes sont contraintes de vivre dans des camps de réfugiés dans les pays voisins, arrachées à leurs foyers et à leurs proches. Et à l'intérieur même des frontières du Congo, des millions d'autres sont déplacés, leurs vies brisées par les assauts incessants de la violence et de la souffrance. Mais les horreurs ne s'arrêtent pas là. L'exploitation systématique des ressources minières du Congo orchestrée par Kagame et ses acolytes aggravé les blessures infligées à cette nation assiégée. Les souffrances endurées par le peuple congolais sont indescriptibles, car il est soumis à des épreuves indicibles et aux douleur inimaginables.

01 juillet 2023

Les partis d'opposition s'unissent-ils dans un effort concerté pour empêcher le président Tshisekedi d'obtenir un second mandat ?

Cette question soulève une préoccupation cruciale concernant la collaboration potentielle entre les partis d'opposition dans le pays. C'est important d'explorer si ces parties peuvent mettre de côté leurs différences et travailler ensemble vers un objectif commun.

La RDC se trouve à un moment critique, la prochaine élection présidentielle revêtant une immense importance pour l'avenir de la nation. La candidature du président Tshisekedi pour un second mandat suscite un sentiment d'urgence parmi les partis d'opposition, qui reconnaissent la nécessité d'un front uni pour contester sa candidature.

Cependant, la tâche à accomplir n'est pas sans défis. Les partis d'opposition en République démocratique du Congo sont toujours fragmentés, souvent motivés par des agendas personnels et des idéologies différentes. Cette désunion entrave leur capacité à contrer efficacement la domination du parti au pouvoir et à apporter des changements significatifs.

Pour surmonter ces obstacles, les partis d'opposition doivent s'élever au-dessus de leurs intérêts individuels et donner la priorité au plus grand bien de la nation. Ils doivent reconnaître que leur force collective réside dans leur capacité à présenter un front uni contre la campagne de réélection du président Tshisekedi. En mettant de côté leurs différences et en se concentrant sur des objectifs communs, ils peuvent exploiter le pouvoir de la collaboration pour remettre en question le statu quo.

De plus, il est crucial que les partis d'opposition s'engagent dans un dialogue ouvert et constructif. Cela leur permettra d'identifier un terrain d'entente, d'établir une vision claire et de développer une stratégie globale pour contrer l'influence politique du président Tshisekedi. En favorisant un environnement de confiance et de coopération, ils peuvent constituer une force formidable capable de contester la candidature du titulaire pour un second mandat.

La République démocratique du Congo mérite un paysage politique dynamique et compétitif, où les voix de tous les citoyens sont entendues et représentées. Un front d'opposition uni peut fournir les freins et contrepoids nécessaires pour assurer un processus électoral juste et transparent. Il est temps que les partis d'opposition surmontent leurs différences, se rassemblent et travaillent vers un objectif commun

Le salut de l'Est du Congo est entre nos mains

Le salut de l'Est du Congo réside dans l'armée congolaise, et non dans la MONUSCO, l'EAC, la SADC ou d'autres forces régionales. Si tel est le cas, pourquoi le président ne donne-t-il pas la priorité au développement de notre armée nationale au lieu de rechercher constamment l'aide de forces étrangères ? C'est évident qu'à chaque fois que des forces étrangères interviennent en RDC, de nouveaux problèmes surgissent.


C'est important de reconnaître que la solution ultime aux défis auxquels est confronté l'Est du Congo réside dans notre propre armée. Alors que des organisations comme la MONUSCO, l'EAC et la SADC peuvent offrir un soulagement temporaire, elles ne peuvent pas fournir une solution durable. Il est grand temps que notre président se concentre sur le renforcement de notre armée nationale, en donnant notre armée les moyens de prendre en charge notre sécurité et notre stabilité.

S'appuyer sur des forces étrangères ne fait que perpétuer un cycle de dépendance et entrave le progrès à long terme de notre pays. Au lieu de cela, nous devons investir dans nos propres capacités militaires, en veillant à ce qu'elles soient bien formées, bien équipées et capables de résoudre efficacement les problèmes de sécurité complexes auxquels nous sommes confrontés.

De plus, l'arrivée de forces étrangères entraîne souvent des conséquences imprévues. Bien que leurs intentions puissent être nobles, leur présences exacerbent les tensions existantes, créer des luttes de pouvoir et même conduire à des violations des droits humains. Nous avons été témoins de ce schéma qui se répète maintes et maintes fois en RDC.

En assumant avec audace la responsabilité de construire une armée nationale forte, nous pouvons revendiquer notre souveraineté et tracer notre propre voie vers la paix et la prospérité. Il est temps pour notre président de donner la priorité au développement de notre armée, en investissant dans son infrastructure, ses programmes de formation et ses ressources. Ce n'est qu'alors que nous pourrons vraiment assurer l'avenir de l'Est du Congo et assurer le bien-être de nos citoyens.

Libérons-nous du cycle de la dépendance et prenons en main notre propre destin. Le salut de l'Est du Congo est entre nos mains, et il est temps de saisir cette opportunité avec une détermination et une audace sans faille.

Le départ des forces étrangères marquera le début d'un nouveau chapitre en RDC

 Le peuple congolais attend avec ferveur le moment tant attendu où la présence de forces étrangères invitées et non invitées cessera enfin d'exister à l'intérieur des frontières de leur pays. Cette journée, attendue avec impatience par tous les Congolais, marquera un tournant dans leur histoire, un triomphe de l'indépendance et de la souveraineté. Les Congolais aspirent au jour où leur terre sera libérée de l'emprise des influences extérieures, leur permettant de façonner leur propre destin sans interférence.

Avec impatience, ils envisagent un avenir où leur pays se tient debout, débarrassé du poids des bottes étrangères sur leur sol. Le départ de ces forces symbolisera la reconquête de leur autonomie, une déclaration retentissante que le peuple congolais est maître de son destin.

L'anticipation du peuple congolais est palpable, son désir de libération résonne à travers le pays. Les Congolais rêvent d'une époque où leur nation s'épanouira, libérée de la présence de puissances étrangères. Le jour du départ du dernier soldat étranger restera gravé dans leur mémoire collective comme un moment de triomphe, témoignage de leur résilience et de leur esprit inébranlable.

Alors que les Congolais attendent avec impatience ce jour historique, ils restent inébranlables dans leur détermination à se forger un avenir qui leur soit propre. Ils aspirent à une époque où leur pays sera défini par ses propres aspirations, ses propres rêves et son propre destin. Le départ des forces étrangères marquera le début d'un nouveau chapitre, celui où le peuple congolais façonnera son propre récit, libéré des influences extérieures.

Cette anticipation des congolais devient une force puissante, les faisant avancer dans leur quête d'une véritable indépendance. Leur esprit inébranlable et leur résilience transparaissent, alors qu'ils sont unis dans leur désir d'un avenir où leur pays est à l'abri de l'ombre d'une intervention étrangère. Le jour où les forces étrangères invitées et non invitées feront leurs adieux à leur pays

L'Ouganda négocie avec les ADF sans en informer le gouvernement congolais

Le journal ougandais MONITOR a récemment révélé une négociation clandestine entre l'Ouganda et les ADFs, tout en gardant le gouvernement congolais dans l'ignorance. Il est vraiment intrigant que l'Ouganda possède non seulement des contacts des ADFs, mais s'engage également dans des négociations sur le sol congolais sans en informer le gouvernement congolais. Malgré de nombreux avertissements, Kinshasa ignore obstinément les conseils et persiste à faire confiance à l'Ouganda, apparemment inconscient des graves conséquences qui l'attendent.
https://www.monitor.co.ug/uganda/oped/commentary/sad-uganda-has-failed-to-relate-with-dr-congo-4289222

Kinshasa ignore que l'Ouganda jouait un jeu dangereux, manipulant le délicat équilibre des pouvoirs dans la région à son propre profit. Personne ne sait comment les ADF, un groupe rebelle ougandais notoire connu pour ses tactiques brutales et sa violence implacable, s'est retrouvé au Congo.

Pourtant, Kinshasa reste parfaitement ignorant, inconscient de la toile perfide tissée autour d'eux. Les avertissements tombent dans l'oreille d'un sourd, comme si la ville elle-même était enveloppée d'un épais brouillard de naïveté et d'ignorance.

L'audace des actions de l'Ouganda est stupéfiante. Négocier avec un groupe rebelle sur un sol étranger sans même prendre la peine d'informer le gouvernement légitime était un mépris flagrant des normes internationales et un affront direct à la souveraineté de la République démocratique du Congo.

Cependant, Kinshasa semble avoir un penchant pour faire confiance à ceux qui ne sont pas dignes de confiance. C'était devenu un thème récurrent, un défaut tragique qui tourmente depuis trop longtemps. Malgré les innombrables leçons tirées des erreurs passées, Kinshasa reste obstinément aveugle à la réalité qui se déroule sous ses yeux.

Les conséquences de cette ignorance sont désastreuses. Les ADF, enhardies par le soutien de l'Ouganda, se sont renforcées de jour en jour, faisant des ravages et terrorisant des civils innocents dans les régions orientales de la République démocratique du Congo. Des vies sont perdues chaque jours, des familles déchirées, et pourtant Kinshasa  continue de fermer les yeux.

Le temps de la complaisance est révolu. Kinshasa doit se réveiller de son sommeil, secouer les chaînes de l'ignorance

S'appuyer sur la MONUSCO, l'EAC, la SADC et d'autres forces régionales ne conduira pas à une paix durable dans l'est du Congo.

Ce n'est qu'à travers l'armée congolaise que nous pourrons véritablement instaurer une ère de paix durable. La situation actuelle dans l'est exige une approche audacieuse et décisive. Bien que les forces internationales et régionales apportent leur concours dans une certaine mesure, c'est clair que leur présence ne suffira jamais à assurer une paix durable dans l'Est.

L'armée congolaise, avec sa profonde compréhension des dynamiques locales et son engagement pour le bien-être du peuple congolais, a le pouvoir d'apporter le changement transformateur qui s'impose. En prenant en charge la situation, l'armée congolaise peut s'attaquer aux causes profondes des conflits et mettre en place des structures de gouvernance efficaces pour rétablir la sécurité dans la région.

Il est temps pour nous de reconnaître le potentiel de nos propres forces armées et de leur donner les moyens de prendre l'initiative de créer un avenir pacifique pour notre pays. En investissant dans leur formation, en les dotant des ressources nécessaires et en leur apportant le soutien dont ils ont besoin, nous pouvons ouvrir la voie à un avenir meilleur.

Bien que la coopération internationale et régionale reste importante, il est important que nous affirmions notre souveraineté et prenions notre destin en main. L'armée congolaise, avec sa détermination et son engagement inébranlables, est la clé pour libérer le véritable potentiel de l'Est du Congo.

Restons unis et résolus dans notre conviction que ce sont nos propres forces armées qui détiennent la clé d'une paix durable dans notre pays.

La décision du président de briguer un second mandat plonge le pays dans un état d'incrédulité.

Comment quelqu'un qui n'a pas tenu ses promesses peut-il avoir l'audace de demander un second mandat? Les Congolais exigent des réponses

L'avenir de la RDC est en jeu, entre progrès et régression. Le peuple esr fatigué et désabusé. Il aspire à un leader qui saura dépasser ses ambitions personnelles et donner la priorité au bien-être de la nation.

Dans cette histoire dramatique d'ambition politique, la poursuite incessante du président pour un second mandat rappelle brutalement les défis auxquels est confronté le peuple congolais. Seront-ils condamnés à endurer un autre mandat de promesses non tenues et de potentiel non réalisé ? Ou se lèveront-ils pour exiger un leader qui réalisera vraiment leurs espoirs et leurs rêves ?


Les troupes étrangères actuellement déployées dans l'est du Congo

 Les troupes étrangères actuellement déployées dans l'est du Congo présentent un comportement qui rappelle celui des conquérants plutôt ...

LE CHEF DE L'ÉTAT FÉLIX TSHISEKEDI DISCOUR 30 JUIN